La sécurité doit primer sur l’idéologie

Pour assurer la sécurité de la population, la police doit pouvoir faire mention de toutes les caractéristiques potentiellement importantes d’une personne recherchée, y compris la couleur de peau. Le PLR s’oppose à cette nouvelle directive de l'Office fédéral de la police par le biais d'une pétition et d'interventions au Parlement.

Une nouvelle mesure de l'Office fédéral de la police (Fedpol) interdit aux forces de l’ordre de mentionner la couleur de peau des personnes recherchées. Pour des raisons idéologiques, les polices cantonales n’ont donc plus le droit d'indiquer dans leur système de recherche si un suspect a la peau claire ou foncée. Or, pour interpeller une personne recherchée, la police doit pouvoir faire mention de toutes les caractéristiques potentiellement importantes, y compris la couleur de peau. Celle-ci constitue un élément d’identification objectif et pertinent, au même titre que la taille, le poids, la coupe de cheveux ou les vêtements.


Soutenons la police

Pour le PLR, la sécurité de la population doit primer sur l’idéologie. Imposer des œillères idéologiques à la police est irresponsable et dangereux. Les policières et les policiers accomplissent un travail précieux, difficile et dangereux. Le président du parti Thierry Burkart : « Il est irrespectueux et dangereux de priver constamment la police des outils nécessaires à leur travail. Cela est particulièrement irresponsable de réduire les moyens de la police, à l’heure où la criminalité augmente. Nos forces de l’ordre doivent être soutenues, et non affaiblies. »

Le DFJP doit fixer les bonnes priorités

Au début de l'année, la gauche lausannoise a tenté de désarmer la police. Grâce à une grande mobilisation du PLR Lausanne et d’une pétition du PLR Suisse qui a récolté environ 30’000 signatures, le PLR a pu mettre fin à cette expérimentation dangereuse. La conseillère nationale PLR Jacqueline de Quattro s’inquiète que le Département fédéral de justice et police (DFJP), en mains socialistes, suive la même voie et réduise les moyens dont disposent les forces de l’ordre: « Au lieu de mettre l'accent sur la sécurité de la population, le DFJP entrave la police avec des réglementations absurdes. »

Le département du conseiller fédéral Beat Jans a déjà suffisamment de travail. Il doit enfin mettre en œuvre les initiatives du PLR visant à endiguer la migration illégale « au lieu d’empêcher les forces de l’ordre de faire leur travail », estime Jacqueline de Quattro.

Signez la pétition dès maintenant. Ensemble, engageons-nous pour celles et ceux qui assurent notre sécurité jour après jour. https://civic.ch/fr/signer/la-securite-doit-primer-sur-l-ideologie