Porte-parole pour le PLR Suisse, j’arpente les couloirs de la Berne fédérale et travaille au plus proche des hommes et des femmes politiques que vous avez élus pour vous représenter. L’un des privilèges de ce métier est de vous faire rencontrer une foule impressionnante de nouvelles personnes. Des politiciens, des personnalités du monde des affaires, des médias bien sûr, mais également des citoyens comme vous et moi. Une partie de mon travail consiste à vous communiquer les sujets politiques traités, en omettant le côté « barbare » qu’ils peuvent parfois représenter. Mais qu’en est-il du fonctionnement de la vie politique ? De ses institutions ? De toute la machine et des personnes de l’ombre qui gravitent autour des élus ? Vous êtes nombreux à me faire parvenir ces demandes, je profite ici au passage pour vous remercier de vos courriels. Ainsi, je vous propose dès à présent de me suivre chaque mois au travers d’un blog qui suivra l’actualité du moment, dans les coulisses de cette vie politique qui passionne autant qu’elle interroge. A vos stylos ! Posez-moi votre question à barras@plr.ch et c’est avec plaisir que j’y répondrai ! Un autre regard sur la politique… Bonne lecture
L’égalité entre les hommes et les femmes est une préoccupation importante pour la population suisse et pour le PLR également. Nous devons combattre l’inégalité avec des mesures efficaces. Or, les mesures proposées dans la révision de la loi sur l’égalité permettent tout au plus un traitement placébo contre les conséquences d’une inégalité salariale et non de vraies solutions quant aux problèmes de fond. En effet, l’inégalité salariale est le résultat de plusieurs paramètres qui conduisent à des différences de traitement, liés à des conditions socio-culturelles complexes. La solution au problème de l’inégalité salariale ne passe pas par une loi, mais par une action coordonnée à plusieurs niveaux pour permettre de combler les différences salariales présentes aujourd’hui encore en Suisse.
L’ère numérique entraine avec elle des opportunités technologiques permettant de faciliter notre travail. Les entreprises peuvent être plus performantes – mais l’administration bouge à peine ! Des processus intelligents pourraient pourtant soulager ses collaborateurs et lui permettraient de réaliser des économies. La nouvelle intervention parlementaire du groupe libéral-radical en montre le chemin.
La session d’automne 2018 sera dominée par l’un des objets les plus importants de cette législature : le Projet fiscal 17. Par ailleurs – et c’est une première – aucune initiative populaire n’est à l’ordre du jour, ce qui ne veut bien sûr pas dire que nous allons nous ennuyer dans la Berne fédérale au cours des trois prochaines semaines. Les objets suivants promettent en effet de nous tenir bien occupés :
par Hugues Hiltpold, Vice-président du groupe libéral-radical
...rejetons les deux initiatives agricoles le 23 septembre !
Si ces deux initiatives venaient à être acceptées, leur mise en œuvre aurait des conséquences désastreuses pour le développement de notre agriculture : toujours plus de contraintes administratives, sans compter la perte de valeur ajoutée des produits suisses.
La numérisation entraine un changement durable dans notre vie et nous pousse à en repenser les processus et l’organisation, tant dans le secteur privé que dans le secteur public. L’administration fédérale a elle aussi reconnu les chances que nous offre la numérisation et a lancé quelques intéressants projets visant à simplifier les processus dont la population, les entreprises, mais aussi les cantons peuvent potentiellement tirer profit.
Je m’appelle Ivan, je viens du Tessin, j’ai fait mes études à l’Université de Lausanne et j’ai commencé à travailler dans la team campagnes du PLR Suisse en février 2018. Jusqu’à présent, j’ai eu l’occasion de participer à de nombreux événements du parti, au cours desquels j’ai pu rencontrer différentes personnes : des parlementaires, des présidents et secrétaires de sections cantonales et même les conseillers fédéraux PLR.
Nos objectifs électoraux : gagner ensemble et dépasser le PS. Notre principale mission est d’assurer le modèle à succès suisse pour les générations futures. L’accent est mis sur la classe moyenne, car elle représente le fondement de la Suisse. Pour atteindre nos objectifs, nous devons aussi obtenir des majorités avec d’autres partis, sans pour autant renier nos origines libérales.
Faisant preuve d’un conservatisme anachronique dans sa vision du rôle des entreprises publiques, le PS veut revenir 30 ans en arrière, vers un modèle d’entreprise obsolète lourd et peu efficace. Agissant ainsi, il s’oppose au progrès et à la numérisation pour de simples motifs idéologiques. Le PLR estime qu’il est essentiel de vivre avec son temps et qu’adapter les conditions-cadres des entreprises publiques aux nouvelles réalités plutôt que de larmoyer un passé idéalisé est une priorité. En pratiquant la politique de l’autruche et en combattant la numérisation et le progrès, le PS mène le Service public à sa perte.