Gagner avant de distribuer

Le PLR combat l’irresponsabilité des socialistes en matière de politique financière

En attaquant le frein à l'endettement, le PS s'en prend à la stabilité financière de la Suisse et aux générations futures. User du principe de l’arrosoir, instrument favori des socialistes, ne sert à rien et cela touche les mauvaises personnes. Le PLR veut au contraire améliorer durablement les conditions-cadres pour la population et l'économie et s’engage pour une Suisse forte.

Le frein à l'endettement est une histoire à succès qui dure depuis 20 ans. Depuis son introduction en 2003, plus de 30 milliards de francs de dettes ont pu être réduits (jusqu'en 2019). En comparaison internationale, la Suisse peut également se targuer d'un faible niveau d'endettement grâce au frein à l'endettement. En remettant en question cet instrument efficace de la politique financière suisse, le PS fait preuve d'une négligence grossière et semble avoir la mémoire courte. En effet c’est grâce au frein à l'endettement, que nous avons eu suffisamment de moyens pour surmonter la crise Covid. Les projets du conseiller national socialiste Roger Nordmann sont également valables pour le budget de l'État : gagner avant de distribuer !

Pas de redistribution au détriment de la classe moyenne

Le PS veut démanteler le frein à l'endettement et user du principe de l’arrosoir pour distribuer des milliards en nouvelles dépenses publiques, le tout sous le couvert d'une augmentation du pouvoir d'achat. Mais les (mauvaises) recettes socialistes ne font que stimuler la croissance de l'État et créent une redistribution au détriment de la classe moyenne.

Les mesures à court terme coûtent cher et s’évaporent rapidement. Le PLR veut des mesures permettant d'améliorer durablement les conditions-cadres pour l'économie et la population. L'accent est mis sur un marché du travail fort, une économie résistante et des finances publiques saines.

Chaque nouveau-né débute dans la vie avec 34'000 francs de dettes

Les dettes sont les impôts de demain. Chacun des 82'371 nouveau-nés en 2022 débutera sa vie avec une dette de plus de 34'000 francs. L'endettement des pouvoirs publics s'élève à environ 300 milliards de francs. Cette charge de la dette limite la capacité d'action et d'autodétermination des générations futures.  Le PLR dénonce les propositions populistes et égoïstes de la gauche qui se font sur le dos de l'avenir de notre pays. Le PLR s'engage pour une politique financière responsable qui n'impose pas le poids de la dette aux générations futures. Compte tenu de la situation tendue des finances fédérales, il est d'autant plus important que toutes les dépenses soient soigneusement et régulièrement examinées.

PLR.Les Libéraux-Radicaux – Rendons la Suisse forte !

Thierry Burkart
Arnaud Bonvin