Aucune contrainte entre Schengen/Dublin et une législation libérale sur les armes 

Le PLR s'engage avec succès pour une solution libérale sans interdire l'arme d'ordonnance

Le PLR s'engage pour une législation sur les armes libérale, dans le respect des traditions suisses – mais aussi pour une application pragmatique de la directive sur les armes. Grâce au PLR, une avancée a pu être obtenue aujourd'hui dans la Commission de la politique de sécurité du Conseil national. L'arme d'ordonnance n'est pas considérée comme « arme interdite ». La solution proposée se veut conforme à Schengen, assure une application non bureaucratique et pragmatique et tient compte des traditions suisses. L'accord Schengen/Dublin n'est ainsi pas compromis. Il est une composante essentielle pour une politique de sécurité et de migration efficace.

En raison de sa participation à Schengen/Dublin, la Suisse doit reprendre certaines parties de la directive européenne sur les armes. Dans ce contexte, le PLR veut une application libérale, non bureaucratique et pragmatique de la directive, dans le respect des traditions suisses. L'application élaborée aujourd'hui reflète cette relation typiquement suisse entre le citoyen et l'Etat, basée non pas sur le paternalisme, mais sur la confiance et la responsabilité individuelle. Parallèlement, une application de la directive garantit à la Suisse sa participation aux accords Schengen/Dublin. Ceux-ci permettent à notre pays de profiter d'une coopération policière et judiciaire et d'un échange d'informations (SIS), ils sont donc essentiels à la sécurité intérieure de la Suisse et de l'Europe.
 
Le PLR s'impose auprès de la Commission de la politique de sécurité pour une solution libérale

Depuis le début, il a toujours été clair pour le PLR que la marge de manœuvre disponible concernant la reprise devait être exploitée au maximum. Aujourd'hui, le PLR s'est employé avec succès pour qu'une dérogation soit créée pour l'arme militaire. Toute personne souhaitant conserver son arme d'ordonnance, issue du stock de l'armée, après son service militaire pourra le faire à l'avenir, sans que l'arme ne soit répertoriée comme « arme interdite ». Pour les personnes déjà en possession de leur propre arme de service, aucune mesure supplémentaire ne sera nécessaire. Le PLR s'est également dressé contre le durcissement inutile et inacceptable de la législation sur les armes demandé par la gauche. Les améliorations apportées par le PLR réduisent considérablement les charges administratives liées à l'application et préservent les traditions suisses. Avec une telle application, il n'y a désormais plus aucune raison de compromettre Schengen/Dublin de manière aussi irréfléchie.
 
Liberté, Cohésion et Innovation – par amour de la Suisse.
 

Rocco Cattaneo