écrit par Pierre Weiss, Vice-Président des PLR

Fier comme Artaban, Christian Levrat vient de présenter la plate-forme électorale en dix points du parti socialiste, « le parti de l’intérêt général » d’un petit cinquième de l’électorat. Et le chef des camarades d’insister sur le modernisme de sa vision de la Suisse. Or une lecture critique, même superficielle, en démontre la ringardise. Sans même évoquer une rhétorique de lutte des classes, aux antipodes de la réalité vécue par les habitants de ce pays. Bref, plutôt que par le modernisme, c’est par le misérabilisme que le PS se profile en 2011.