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Pour endiguer la crise, restons unis.
Admettre la concurrence c’est accepter que chacun d’entre nous ait la possibilité d’être un acteur de la vie économique. La concurrence favorise la créativité, elle nous a fait sortir de l’immobilisme et de la paresse. Dans beaucoup de domaines, et en particulier celui de la sphère économique, elle est une source de dynamisme, de satisfaction et d’amélioration. Toutefois, de manière à la réguler, et afin d’empêcher que la loi de la jungle règne, des règles du jeu ont été établies et acceptées par les acteurs politiques tant sur le plan national qu’international. Malgré sa petite taille, la Suisse est le quatrième

pays le plus compétitif du monde, elle a donc un rôle majeur et exemplaire en acceptant ces règles.

 

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Laurent Favre
Conseiller national VD

 

 

 

Sans aborder la question des réserves mondiales de brut, la catastrophe du golfe du Mexique nous rappelle l’enjeu environnemental lié à notre dépendance pétrolière. Dès lors et sans revenir sur les objectifs de réduction du CO2 fixés par le Parlement, le développement des technologies durables (Cleantech) et la relance de la production électrique dans le pays s’imposent.

 

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Martine Braunschwig-Graf
Conseillère nationale GE

 

 

Je n’aime pas la « Schadenfreude ». Mais après ces nombreux mois a avoir entendu la Suisse critiquée par ses voisins en raison de son secret bancaire et de son soi-disant manque d’éthique, je suis heureuse de voir que quelques vérités commencent à sortir ! La Suisse a probablement la législation contre le blanchiment d’argent la plus sévère du monde. Elle s’est attachée depuis des années à prendre sur le plan interne les mesures législatives conformes à ses engagements internationaux.

 

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Christian Luscher
Conseiller national GE

 

 

Au moment où les Chambres décident du sort de la convention conclue entre la Suisse et les Etats-Unis (USA), il y a deux courants de pensées au sein du parti libéral-radical : celui que chacun rêverait d’exprimer, en écoutant ses tripes, ses convictions et les grands principes libéraux. Ce courant est incarné avec talent et finesse, saupoudré d’une couche d’authentique indignation, par Michel Halpérin. Pour lui, il faut rejeter, que dis-je, vomir cet accord, qui viole tout ce que nous chérissons : le secret bancaire, le principe de non-rétroactivité et la souveraineté de la Suisse. Le deuxième courant, moins flamboyant, est représenté par le Conseil d’Etat genevois (à l’appel duquel les deux représentants du canton à la Chambre haute sont restés sourds pour des motifs doctrinaires, s’affranchissant de la sorte de leur mission de défendre Genève à Berne, il faudra s’en souvenir en 2011), tous les représentants de l’économie, les banquiers privés, l’association suisse des banquiers, le PLR et le groupe libéral-radical de manière unanime.

 

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