Des finances fédérales durables pour les générations futures

Le PLR présente les grands axes d’une politique financière fédérale libérale

Depuis plusieurs années, l’augmentation du budget fédéral est supérieure au PIB et les dépenses fédérales ont doublé depuis 1990. A moyen et à long terme, d’importants déficits structurels menacent le budget fédéral. Les générations futures risquent de crouler sous une montagne de dettes ou des charges fiscales excessives. Attentif à la Cohésion, PLR.Les Libéraux-Radicaux ne veut pas prendre ce risque. Il demande des bases libérales afin que la croissance de l’Etat soit freinée dans l’intérêt des contribuables et des entreprises. Le PLR présente les grands axes d’une politique financière fédérale libérale dans un papier de position. 

Chaque ménage et chaque entreprise le sait : des dépenses qui augmentent plus vite que l’activité économique pendant des années n’ont rien d’un développement sain. Pourtant, c’est exactement ce qui se passe depuis des années avec les finances fédérales. Le PLR ne compte pas rester les bras croisés face une telle évolution et présente les grands axes d’une politique financière fédérale libérale. Ces derniers englobent à la fois des exigences concernant les recettes et les dépenses, ainsi que des instruments de contrôle. La Suisse peut ainsi préserver sa capacité d’action et sa compétitivité. 

Des mesures sur les recettes visant à soulager les citoyens et les entreprises
Il n’est pas question que la politique dépensière soit financée par de nouveaux impôts. Au contraire, le PLR est pour des impôts et des taxes bas : les dépenses ne doivent pas augmenter plus rapidement que le PIB réel, la vraie progression à froid des impôts sur le revenu doit être compensée et un taux unique de TVA plus bas introduit. Seule une place économique attractive assure les recettes nécessaires aux dépenses de la Confédération. 

Mesures sur les dépenses visant à prévenir d’importants déficits
Le PLR exige une observation stricte du frein à l’endettement et son extension au budget social. De plus, la part de dépenses fortement liées doit être réduite dans le but d’augmenter la marge de manœuvre de la politique financière. Les postes de dépenses doivent être priorisés et les économies potentielles mises à profit dans l’administration fédérale. 

La formulation de grands axes libéraux – comme présentée pour la première fois sous cette forme – offre l’opportunité d’aspirer à des finances fédérales durables à long terme. Ce but stratégique doit être poursuivi au-delà de l’horizon prévisionnel du budget annuel. Le papier de position a été élaboré par la commission spécialisée interne de l’économie et des finances et adopté par la Conférence des présidents de parti. 

Lien vers le papier de position

Lien vers les présentations de la conférence de presse

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Hans-Ulrich Bigler
Jacques Bourgeois